Si on dépensait en services sociaux autant qu'en Ontario, on serait plus riche de quelques milliards par année. C'est un choix de société que nous avons fait, il faut accepter les impôts qui viennent avec.
Promettre plus de services sociaux correspond à promettre plus d'impôts. Promettre plus de services sociaux et une baisse d'impôts, c'est promettre une augmentation de la dette.
À court terme, « plus de services » fait l'affaire de plusieurs personnes. À long terme, les enfants et petis-enfants de ces personnes paieront la note. Mais, il semblerait qu'on s'en fout. Nous serons mort.
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